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Voyage au pays du taimen

Types de pêche : Mouche et Truite et saumon. Destinations : Mongolie.

De jolis taimens rencontrés en Mongolie

Éric et Fred sont partis en ce mois de juillet 2019 en Mongolie. Dix jours de voyage, et sept jours entièrement consacrés à la pêche et à la découverte des rivières sauvages et peu fréquentées. Un séjour parfaitement organisé par Piam.

Les objectifs du voyage ? Découvrir ces paysages caractéristiques de la région, apprivoiser ces rivières typiques… et rencontrer du GROS taimen 😊

Camp de base et conditions de pêche

Le camp de base est établi au lodge des Tsataans, au nord-ouest de la région du Khovsgol. Huit pêcheurs se croisent sur place, répartis en groupes de 2 sur les bateaux, avec les rivières Tengis et Shishged à découvrir à proximité immédiate. Accompagnés par un guide local, très habile pour manœuvrer l’embarcation sur ces rivières puissantes qui abritent taimen, truite lenok et de belles densités d’ombres. Il s’agit probablement de l’un des camps où les pêcheurs ont le plus de chances de rencontrer des taïmens actuellement.

Pêche de gros taimen en Mongolie

Les conditions de pêche n’étaient pas forcément évidentes lors du séjour : des eaux hautes et fortes (presque 1 mètre de plus qu’en « situation normale » en pareille saison), peu d’activité vraiment visible sur les spots rencontrés. Mais même en cas de fortes pluies dans les environs, de grands lacs « font tampon » en amont, les eaux restent claires et pêchables.

Côté matériel de pêche

Parmi les cannes qui ont fait le déplacement, c’est principalement 2 cannes qui ont pêché pour le leurre : la Tenryu 73M Travel, et la Daiwa Powermesh Travel 274 XH. Pour l’ombre et la truite, le moulin était garni d’une tresse en 12/100, les bas de ligne le plus souvent confectionnés en fluoro 28 centièmes. Les leurres classiques ont fait l’affaire, par exemple le D-Contact couleur vairon en 72 et 85 mm. Les imitations d’insectes pour les leurres de surface et les cuillères Aglia long cast numéro 3 argent ont également très bien fonctionné.

pêche de l'ombre en Mongolie

Pour pêcher le taimen, l’ensemble était équipé d’une tresse en 22/100 et d’une pointe en fluoro de 50 centièmes. Les leurres souples entre 12 et 20 cm plombés sur l’axe, les poissons nageurs entre 10 et 14 cm ou des lames pour tenir le fonds ont montré toute leur efficacité, avec des coloris ayu, dos vert ou vairon.

Pour pêcher à la mouche, c’est la JMC Prestige en 9 pieds soie de 6 qui a fait le job pour la truite et l’ombre. Côté mouches, les sauterelles étaient très prenantes, ainsi que les imitations de petites souris en chevreuil. La JMC Pulsation en 9 pieds soie de 10 avait également fait le voyage pour le taimen.

Pêche de truites lenok à la mouche en Mongolie

Le séjour s’est révélé assez productif pour la pêche, avec 9 taimens sortis de l’eau en 7 jours de pêche, dont 5 poissons faisaient plus d’un mètre. En ciblant une espèce de poisson, au vu des densités d’ombres et de truites lenok qui peuplent ces eaux : il est possible de toucher une centaine d’ombres par jour, ou une trentaine de lenoks. La plupart des truites rencontrées faisaient entre 50 et 60 cm, 77 cm pour la plus jolie.

La pêche du taimen en vidéo

Voici un résumé en images des plus belles rencontres du séjour.

 

Plus d’infos sur cette destination pêche sur le site de P.A.C. Voyages et Piam.

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